Quarto et Penta parachèvent harmonieusement une partition urbaine déjà bien en place.
La ville s'enrichi de la pluralité des écritures architecturales et des époques, pourvu que quelques dispositions urbaines assurent les coutures nécessaires à la cohérence d'ensemble.
La progressivité de l’épannelages des hauteurs bâties avec les avoisinants, les densités de vide, l'unité des rez-de-chaussée et la continuité paysagère que les deux bâtiments réussissent à combiner, assurent ce rôle unificateur tout en se distinguant par leur architecture iconique.
Conçus sur un principe de poteaux-dalles, les bâtiments sont entièrement réversibles. La totalité des logements sont soit traversants soit à double exposition au niveau des séjours.
La relation de l’Homme à l’univers végétal est essentielle et choisir d'habiter dans un collectif ne devrait pas forcément se faire au prix du sacrifice d’un jardin. Les deux bâtiments offrent à chaque appartement un à deux "jardins de poche" suspendus…appropriables.
Quarto et Penta se distinguent par le dessin subtil de ses grandes terrasses, ordonnées sur rue et déhanchées en cœur d’ilot.
Les corps de bâtiment, de géométrie simple, sont vêtus de liège : un matériau durable qui assure en une couche, isolation et parement.